Auteure de romans fantastiques et de science-fiction passionnelle - Thrillers mystiques et gothiques - Histoires d'amour intemporelles

Étiquette : Association L’Autre Livre

Audio vidéo Les Nuits de la Lecture – Janvier 2021

Audio vidéo : Les Nuits de la Lecture – Janvier 2021

Organisées par l’association L’Autre Livre
Du 21 au 21 janvier 2021
L’auteure Christine Barsi nous présente le 1er tome de sa trilogie La Passion de l’Arachnee : L’Odyssée.

Bonjour, je me nomme Christine Barsi et je suis l’auteure de dix romans publiés par 5 Sens Editions. Scientifique de base, je puise mon inspiration dans mes études en biologie et science de la nature et de la vie, ainsi que dans mon métier dans les ressources humaines et l’ingénierie. J’ai intégré depuis une année l’un des Conseils d’administration de ma ville afin d’y promouvoir la littérature.

J’écris depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique. Pour cette vidéo, j’ai choisi de vous présenter le tome 1 de ma trilogie La Passion de l’Arachnee qui s’intitule L’Odyssée.

Présentez-nous votre ouvrage

La Passion de l’Arachnee est une trilogie de science-fiction passionnelle qui amorce ma saga des Mondes Unifiés, des Mondes Mutants. Une déclinaison de la Belle et la Bête sur le registre de la science-fiction et des mutations, dont voici le pitch :

« Passionnée par les races mutantes d’une colonie excentrée rattachée à la Terre, une scientifique devra parcourir avec ses compagnons des distances considérables afin d’en étudier l’une des espèces prédominantes. Un périple interminable qui mènera l’expédition jusque dans les profondeurs inquiétantes du domaine arachnee au sein de la forêt mythique de Thanäos, là où se dissimulent les pires créatures de Xaltaïr. »

Quels sont les thèmes abordés dans ce roman ?

Mes thèmes privilégiés, ici, sont les déviances et les mutations qui sévissent et qui divergent des normes édictées par les bien-pensants. J’apprécie d’approfondir ce thème de la folie humaine bien trop centrée sur une réalité commune qui éloigne l’Humanité de la richesse de sa diversité. J’entends révéler ce handicap qui nous tient captif d’une geôle invisible ainsi que le poisson dans son bocal, et de retravailler sous différents angles cette aberration de l’homme qui ne cherche pas à s’affranchir de son quotidien trop bien huilé.

Un autre thème explore les affres des lobbies scientifiques jouant avec le génome humain. Enfin, j’aime exposer mes personnages et leur offrir malgré un contexte et un environnement difficile, des alternatives ainsi qu’une magnifique histoire d’amour qui les rapprochera en dépit de tout.

Voici un passage d’un chapitre :

 Le Palais de la ville marchande, Issbar :

  La Passion de l'Arachnee« Il contempla par la baie vitrée, l’océan Brun Rouge qui s’étalait jusqu’au pied de la falaise, en haut de laquelle ce palais s’érigeait. Les eaux atteignaient leur maximum ; le Grand Vide ne tarderait plus. D’ici une demi-révolution, les eaux disparaîtraient sur des centaines de kalends alentour. L’homme frissonna comme à chaque fois qu’il se remémorait cette période hostile pour tous ceux qui comme lui – c’est-à-dire près de la moitié de la population humaine de la Colonie – vivaient à proximité des bords de l’océan… »

 « …Althan s’arracha au charme maléfique des eaux sombres, et reporta son attention dans le salon à sa disposition. Une vasque aux reflets argentés contenait une substance laiteuse d’où jaillissaient par moments, les yeux globuleux et noirs des Viturines, petits êtres amphibiens connus pour l’effet providentiel de leurs morsures. Si l’on trempait les doigts dans le bassin, deux ou trois de ces créatures venaient d’emblée s’y accrocher de leurs mâchoires démesurées ; en s’agitant, elles vous suçaient le sang, le vidant de son éventuelle contamination radioactive dans des proportions stupéfiantes. Ces bestioles représentaient un traitement de choc pour les victimes d’irradiation. Pour autant, la morsure extrêmement douloureuse de ces avortons vampiriques n’avait rien d’un remède agréable. »

 

 J’en ai terminé de ma présentation, n’hésitez pas à me rejoindre sur mon site : christinebarsi.com, et peut-être à bientôt.

 

 

 

Mon tout premier salon de l’Édition Indépendante

L'écrivaine Christine Barsi sur son tout premier salon des Éditeurs Indépendants

L’écrivaine Christine Barsi sur son tout premier salon des Éditeurs Indépendants

Mon tout premier salon en tant qu’écrivaine

Ma présence au salon de l’édition indépendante, sponsorisé par L’Autre Livre, ce 18 novembre 2017 sur le stand de mon éditeur 5 Sens Éditions.

Un lieu très agréable et typique du Marais, rue Vieille du Temple, au sein de l’Espace des Blancs Manteaux.

Ouf, c’est fini. Ca c’est fait !

C’était mon tout premier salon, sur lequel j’ai réalisé des dédicaces de mes livres et rencontré de belles personnes de tous les horizons (parisiens, provinciaux, suisses, belges et canadiens pour ne citer que quelques origines, et parmi eux : éditeurs, écrivains, journalistes, traducteurs et artistes, tous les amoureux du livre venus pour nous acheter nos créations et repartir avec une dédicace de leurs auteurs préférés.

Un grand moment pour moi et une étape franchie, l’aventure se poursuit.

Un mot sur l’association L’Autre Livre qui organise ce salon et défend les droits de l’édition indépendante, permettant que la culture ne se cantonne pas aux limites imposées par les grandes filières commerciales mais s’ouvre et se développe ainsi que le veut l’art sans frontière.

J’y ai rencontré de visu mon éditrice, Chloé Wittwer. Merci à toi, Chloé pour cette expérience que je n’aurais peut-être pas connue si 5 Sens Éditions n’avait pas publié mes tout premiers romans.

Salon de l'Édition Indépendante

Salon de l’Édition Indépendante

Salon international de l’édition indépendante

Salon international de l’édition indépendante

L’Association L’Autre Livre vous offre, du 17 au 19 novembre 2017, la possibilité de découvrir plus de 2000 livres, qui font rarement les têtes de gondole, quelque 400 auteurs de 170 maisons d’édition dont de nombreux éditeurs de province, mais aussi belges, suisses ou canadiens.

Le salon de l’Autre Livre, devenu depuis quelques années « le salon international de l’édition indépendante », est aussi l’un des rendez-vous incontournables d’échanges entre les éditeurs indépendants : sur leur situation, celle du livre, de la lecture et de la marchandisation des biens culturels.

Notre salon se présente pour les éditeurs comme un lieu stratégique pour défendre nos maisons indépendantes, une opportunité en raison du faible coût de participation aux frais et une réelle possibilité de conquérir des lecteurs.

ÉDITION 2017    –   ESPACE DES BLANCS MANTEAUX   –   Entrée libre
  • Vendredi 17/11: de 14 à 21H
  • Samedi 18/11: de 11 à 21H
  • Dimanche 19/11 : de 11 à 19H

48, rue Vieille du Temple – 75004 PARIS

(Métro « Hôtel de Ville »)

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