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O’Shea Tjungurrayi
Chapitre : O’Shea Tjungurrayi Cahier d’Avril Scott : Un paradis isolé, loin des aléas du monde urbain ; je ne demandais que ça. La faune et la flore y avaient tout leur sens et m’accompagneraient. Je n’y serais jamais seule, ne ressentirais jamais cette impression de solitude qui vous étreint en plein centre de Melbourne ou d’une tout autre capitale humaine. De retour sur ce qu’elle considérait désormais comme « son île » et « son parc », Avril était en paix avec elle-même ; d’une certaine manière, car il y avait tellement à faire qu’elle avait souvent la sensation que son cerveau en effervescence allait se fissurer par…