La Passion de l’Arachnee – Tome 1 : L’Odyssée
La Passion de l’Arachnee – Tome 1 : L’Odyssée – Roman de science-fiction
Publié le 23 avril 2020
par : 5 Sens Editions
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Un rêve…, un rêve étrange et prégnant qui plonge la scientifique dans un monde d’horreurs aussi réelles que son propre univers… Un homme… Une créature…, hideuse, et qui la poursuit sans fin. La jungle impénétrable et sombre… et puis la toile visqueuse, l’immense toile de brume. Le piège qui se referme… Son monde… Xaltaïr…, l’elliptique. Un monde décentré, loin des trépidations d’un univers pris de folie dont les chroniques rapportent les frasques de la junte humaine aux prises avec ses créatures. Quand Isys doit emprunter la voie de Thanaos, la forêt mythique au sein de laquelle vivent les effrayants Hommes-Arachnees, elle pense qu’elle n’en reviendra pas. Avant même que les membres de l’expédition ne parviennent au camp de base, au cœur de ces espaces inviolés, le contact est déjà établi avec celui que l’on nomme le Grand Arachnee ou le Démiurge de la race.
Voici un retour de Dominique Le Belleguic, auteur, blogueur, correspondant de presse et rôliste du site de jeux de rôle « Univers-jdr » :
« …Qui a dit complot corporatiste ?
Enfin, vous savez qu’il est difficile de rendre un voyage vivant lors d’une partie de jeu de rôle. Et bien Christine Barsi y réussit au travers de plus de 400 pages. De la préparation du voyage jusqu’au lieu de destination, il n’y a pas de temps mort. Vous pouvez vous en inspirer lorsque vos personnages devront prendre la route…«
Voici le lien vers l’article complet :
Second retour de Céline Bacc, sur L’Odyssée :
Fini le Tome 1 que j’ai adoré. Le peuple arachnée m’a ensorcelée et captivée. Je viens de recevoir le Tome 2 que j’attendais avec impatience. L’aventure peut à nouveau continuer. Merci pour tous ces moments fabuleux que je passe à lire tes livres et je maintiens… à quand un film ? ça serait génial car que ce soit pour Déviance ou la passion de l’arachnée, ce serait formidable !
Voici le lien vers ce 2nd commentaire de Céline
Premier retour, celui de Céline Bacc, sur L’Odyssée :
Je suis en train de finir le tome 1 que j’adore même si je suis arachnophobe. Mais c’est passionnant et captivant. Par anticipation, je viens de commander le tome 2 (en livre car la lecture numérique ne me correspond pas). En tout cas je ne suis toujours pas réconciliée avec ces pauvres araignées qui ne m’ont jamais rien fait mais je travaille sur moi même et la peur face a la différence. La passion de l’Arachnee me fait réfléchir et voyager ailleurs dans les profondeurs de mes peurs inconsidérées et injustifiées. Merci Christine et je serai au rdv du tome 3 dés que possible
Voici le lien vers le commentaire de Céline
Un extrait de L’Odyssée :
« Avez-vous jamais ressenti cette impression singulière de reconnaître quelqu’un que vous n’aviez encore jamais rencontré ? Cette émotion prégnante qui vous étreint sur l’instant, et qui ne vous lâche plus, alors même qu’il ne s’agit pas d’un être humain à proprement parler. »
Un extrait du tome 2 de La Passion de l’Arachnee encore en phase de réécriture après soumission aux éditeurs et un contrat signé :
« Se confronter, manches relevées, à son existence, n’est pas de tout repos. Il y a ceux qui se laissent mener et ceux qui embrassent leur destinée à la manière d’un bulldozer. Les uns et les autres ne parviendront qu’à semer d’autant plus de troubles et de blocages. Et puis il y a celui, qui, avec un doigté et une souplesse d’esprit aussi légers qu’un souffle d’air, transformera les ouragans et les tempêtes en opportunités. »
Chassé-croisé de deux artistes, la romancière et l’artiste peintre
« Chaume » : peinture sur toile de coton de l’artiste Emma C, afin d’illustrer l’un des chapitres de La Passion de l’Arachnee
Extrait correspondant à la toile, dans l’imaginaire de l’auteure de la trilogie :
Aujourd’hui, ils s’étaient reposés dans le camp de base établi dans la prairie. Constitué de deux corps de bâtiments, encadrés par les maëstverjs et les aphros, ce dernier s’adossait à plusieurs tisants sur l’arrière et les côtés, et donnait en façade sur des champs de fleurs à profusion caractéristiques des Hauts-Plateaux. Demain, ils commenceraient la réfection de leurs abris de bois et de pierres. Bien situés et accotés comme ils l’étaient à la forêt, les Humains ne se laisseraient pas facilement surprendre par d’hypothétiques incursions mutantes du côté de la prairie. La veille, en émergeant exténués de la jungle, ils les avaient découverts avec saisissement, leurs refuges de terre ocre, mêlée de pierres pour les soubassements et d’un bois vermoulu et branlant pour l’étage. Bien que les deux bâtiments fussent espacés de plusieurs mètres, ils formaient un angle droit approximatif et encadraient, sur leur façade, une sorte de cour naturelle.
Merci à Bruno Para pour l’intégration de ce roman dans NooSFere, l’encyclopédie des Littératures de l’Imaginaire : https://www.noosfere.org/livres/niourf.asp?numlivre=2146617609
